Akira Toriyama, au revoir au père de Dragon Ball

Le monde de BD et duanimation pleure là la mort De Akira Toriyamané en 1955, l’un des mangakas les plus influents de tous les tempscréateur de Dragon Ball Et Dr Slump et Arale. Passionné de BD et de dessins animés depuis mon enfance, séduit par 101 Dalmatiens et de Astro Boy De Osamu TezukaToriyama ne s’est pas fait remarquer jusqu’à ce que le magazine croise son chemin Saut Shōnen hebdomadaireoù après quelques tentatives il donna naissance à Dr Slump (1980-1984, animé Dr Slump et Arale de 1981 à 1986, avec un redémarrage de 1997 à 1999) : les histoires d’un scientifique sensible au charme féminin, et de son joyeux androïde au pouvoir dévastateur, Arale, étaient très divertissantes.
Son autre création célèbre, ou plutôt plus célèbre, officiellement lancée en 1984 : Dragon Ball il est né d’un Dragon Boy embryonnaire plus tôt. Était un succès effrayantque pour 519 chapitres de 1984 à 1995 le liait à ce monde particulier, qui mélangeait kung-fu, visionnaire Et humour dans son style. Identifié à ceux personnages emblématiques depuis plusieurs générationsles a vu entrer dans l’imaginaire collectif avec plusieurs séries animées : Dragon Ball (1986-1989), Dragon Ball Z (1989-1996) et le plus récent Dragon Ball Super (démarré en 2015), sans oublier les différents animé cinématographique n’arrivait que rarement en Italie. Juste avec Dragon Ball Z – Bataille des Dieux En 2013, il s’est rapproché de sa créature de manière plus active.
Pas enthousiasmé par les célébrations publiques, plutôt timide, il s’est marié en 1982 et a eu deux enfants. Collectionneur, amoureux des animaux (pas seulement des plus évidents), passionné d’automobiles et de motos, Toriyama avait également expérimenté conception de personnages de jeux vidéo comme Dragon Quest, Blue Dragon et surtout le bien-aimé le déclencheur d’un chronomètre pour SNES. À l’Asai Shimbun en 2013, il a déclaré :

Honnêtement, je ne sais pas comment c’est arrivé. Quand la véritable série de mon manga a commencé [Dragon Ball]la seule chose que je voulais en continuant à dessiner, c’était que a rendu les enfants japonais heureux. Le rôle de mon manga est d’être une œuvre de divertissement de bout en bout. J’ose dire que je m’en fiche de savoir si mes œuvres auront des adeptes après moi, du moment qu’elles le font amusé leurs lecteurs. Il existe d’autres mangaka soucieux de transmettre des messages pédagogiques et de laisser leur empreinte.