Avatar 2, le plus gros succès post-pandémie au monde, Spider-Man No Way Home est vaincu !

C’était déjà dans l’air depuis quelques jours, maintenant c’est officiel : Avatar – La voie de l’eau est devenu le post-pandémie le plus rentable au mondedépassant le enregistrer qui semblait intouchable de Spider-Man pas de retour à la maison. Dans les dernières heures Avatars 2 en fait, il l’a dépassé, se dirigeant vers 2 milliards de dollars, ouvrant symboliquement l’espoir d’un retour à la normalité de la cinémasans toutefois jamais oublier qu’au-delà de ces chiffres extraordinaires, il existe d’autres films plus petits et différents d’Avatar 2 capables de garder haut le drapeau au cinéma.

Spider-Man No Way Home surpassé par Avatar : La rue de l’eau comme le plus gros chiffre d’affaires post-Covid !

Cela ressemblait à l’enregistrement de Spider-Man pas de retour à la maison à la box-office devrait rester invaincu : avec 1 916 300 000 dollars, y compris la réédition d’automne, le film avec Tom Holland a été le plus gros chiffre d’affaires international post-Covidmais qui a vu dans l’univers Marvel le « roi du monde » il ne s’était pas entendu avec le tenant du titre. E James Cameron n’a pas l’intention de passer le relais aux nouveaux venus : ces dernières heures, source Boxofficemojo, Avatar : la voie de l’eau il a en effet touché 1 928 250 000 dollars, le détrônant ainsi officiellement. Et si les 2 743 580 000 des premiers paraissent inaccessibles Avatars (qui avec les différentes rééditions jusqu’en 2022 sont devenus un bon 2 923 000 000 !!!), nul doute que celui de Avatars 2 est un résultat sur lequel peu auraient parié, considérant peut-être No Way Home comme une exception.
Cela dit, si vous comparez avec les recettes de l’année dernière Box-office italien du week-end dernier, on remarque qu’Avatar : The Waterway, s’il attire naturellement l’attention, n’est pas un atout. Ces 6 690 264 euros du box-office italien général du week-end dernier doublent les 3 276 600 d’il y a un an… et en tout cas No Way Home était toujours dans le circuit et au sommet. Les films italiens naviguaient entre 200 et 300 000 euros, alors qu’ils se débrouillent désormais entre 600 et 700 000. Réconfortant.