Ce matin à L’Aquila, le Fondation de la Commission du film des Abruzzes promu par la Présidence de Région. L’événement a été une excellente occasion d’échange et, pour la commission du film nouvellement créée, un moyen de recevoir de précieux conseils pour son activité future. Le Sous-Secrétaire d’Etat au Ministère de la Culture était présent dans la salle souterraine du Conseil Régional Lucie Borgonzonile président de la région des Abruzzes Marco Marsilele président d’Anica François Rutellile président de la Commission italienne du film Christine Priarone Et Nicolas Claude, Président de Rai Cinéma. Voici leurs déclarations :
Lucia Borgonzoni (sous-secrétaire d’État au ministère de la Culture)
Pour des histoires et un territoire à raconter, la vôtre est une région au patrimoine très riche. Le Gouvernement s’engage pleinement à travailler en équipe en investissant des fonds et des énergies pour le promouvoir de plus en plus à travers un outil très puissant comme l’audiovisuel. En effet, les produits cinématographiques et audiovisuels savent impliquer et former les nouvelles générations et sont capables d’accroître le tissu social sur le plan culturel, professionnel et économique. C’est pourquoi, en tant que ministère, nous préparons une action combinée qui peut contribuer encore plus efficacement au développement du système cinématographique italien
Marco Marsilio (président de la région des Abruzzes)
Rejoindre la famille des commissions cinématographiques italiennes signifie travailler pour internationaliser la marque des Abruzzes et se présenter sur le marché audiovisuel non seulement en s’appuyant sur la richesse des décors naturels de notre région, mais également sur la qualité des services que nous sommes en mesure d’offrir dans termes de haute spécialisation des travailleurs, qualité et quantité des infrastructures et capacités d’accueil. Une Commission cinématographique régionale structurée et ancrée dans les territoires génère non seulement une croissance culturelle et touristique, mais aussi une plus grande capacité à attirer les grandes productions nationales et internationales et les nouvelles plateformes intéressées à investir dans les Abruzzes. L’objectif est de faire de l’audiovisuel un levier de développement pour le marketing territorial et, last but not least, la formation des jeunes intéressés à entreprendre ce métier qui fait aujourd’hui. travailler, ils sont obligés de chercher fortune ailleurs.
Francesco Rutelli (Président d’Anica)
Je voudrais féliciter la Région des Abruzzes et le président Marco Marsilio pour cette institution de la Commission du film qui est une page vraiment précieuse pour la promotion d’un territoire magnifique qui a été le décor de films historiques de valeur internationale.
Cristina Priarone (présidente de la Commission italienne du film)
Nous sommes heureux parce que lorsqu’un territoire se dote d’outils tels qu’une commission du film, comme le fait la région des Abruzzes, tout le pays et le secteur audiovisuel national en bénéficient, surtout lorsque cela se déroule dans un processus partagé avec l’IFC sur les coordonnées de compétence et le concret.
Nicola Claudio (président de Rai Cinema)
Grâce à la présence des Commissions du film, les productions, réalisateurs et scénaristes ont pu élargir géographiquement les horizons des histoires qu’ils ont imaginées puis créées, les disloquant des lieux de renommée mondiale consolidée vers des zones plus périphériques et inconnues, réalisant enfin pleinement à disposition la particularité et peut-être incomparable d’un territoire national si incroyablement varié et riche d’un point de vue géographique, paysager, linguistique, culturel, gastronomique et artistique, qu’il constitue une véritable mine pour le cinéma.
Certains acteurs des Abruzzes étaient présents à la présentation de la Fondation Abruzzo Film Commission. Parmi ceux-ci James Ferrare alias Épée De Suburra – La série, Nicolas Galasso c’est-à-dire O’Pirucchio De Mer dehorsEt Gabriel CirilliActeur et humoriste sicilien. Il était aussi un invité Fabius Maxime Accablantcompositeur à qui l’on doit, par exemple, la musique de Extérieur Nuit et de Kidnappé De Marc Bellocchio.