Al Pacino Et Jessica Chastain ils reviennent côte à côte sur le plateau. Les deux acteurs Oscars ils seront les protagonistes de Lear, Rex…. Comme on peut le voir de titrele film adaptera une nouvelle fois au grand écran l’un des plus célèbres et des plus complexes tragédies signé par William Shakespeare: Le Roi Lear. Selon les rumeurs diffusées par Date limitele a repris ils devraient commencer cet été Los Angeles.
Ce n’est pas la première fois, comme nous l’avons mentionné, que les deux gros bonnets agissent ensemble. La dernière fois remonte à 2011 et c’était en Salomé sauvage, écrit, réalisé et mettant en vedette Pacino. Le film, inspiré du scandaleux pièce en un acte d’Oscar Wildea contribué de manière significative au lancement du brillant carrière de Chastain.
Revenons à Lear, Rex…qui verra Bernard Rose Derrière la caméra. Al Pacino il prêtera son visage au souverain tourmenté ; Jessica Chastain ce sera plutôt la fille Gonérille. Ce n’est pas la première fois que la star new-yorkaise tente l’œuvre immortelle de William Shakespeare. Souviens-toi juste de son docu-film À la recherche de Richard (1996) et l’élégant Le marchand de Venice (2004). À propos de ce dernierLear, Rex… ce sera aussi le théâtre des retrouvailles entre l’oscarisé et le producteur Barry Navidi. Les deux marquent ainsi leur cinquième collaboration, en plus du film susmentionné Michael Radford et l’attendu Façonsdirigé par Johnny Depp.
Quel est le parcelle de la nouvelle version de la tragédie de Shakespeare ? Un roi âgé partage ses terres entre ses trois filles pour éviter de futurs conflits. Il fait l’erreur de rejeter sa jeune fille, qui l’aime vraiment, et de faire confiance à ses méchantes sœurs, qui lui enlèvent son pouvoir et le condamnent à une existence misérable de folie et d’horreurs.
« Al et moi allons y arriver un Lear courageux et cinématographique – il a déclaré Bernard Rose – qui sera aussi excitant et puissant que le spectacle sur scène l’était pour ses téléspectateurs d’origine. Je suis ravi de l’avoir avec nous Jessica Chastain sur ce chemin. La dévotion que moi et tous ceux que je connais nourrissons pour Le Parrain, Heat et bien d’autres films, Pacino la réserve à Shakespeare. »