Le fugitif avec Harrison Ford Et Tommy Lee Jones a récemment terminé 30 ans: si la société mise en scène raconte une époque désormais lointaine et moins numérique, le film de Andrew Davis il n’a pas perdu son Forcer et sa cohérence, à tel point qu’il est encore considéré comme un classique. Mais il y en a ingrédients des détails qui le rendent ainsi ? Le réalisateur lui-même en a parlé avec ComicBook.com, soulignant ses caractéristiques gagnantes.
Le fugitif, pourquoi ça marche toujours après 30 ans
Il est curieux de constater comment Le fugitif en 1993 c’en était déjà un fête: en fait à ce moment-là le 30 ans du Série télévisée « Le Fugitif » (1963-1967), sur lequel il s’appuie. Bref, l’âme de cette histoire passionnante, où un innocent (ici Harrison Ford) fuit la loi (ici Tommy Lee Jones), était et reste à feuilles persistantes. Il y a de quoi non seulement profiter de l’occasion pour le revoir – au moment où nous l’écrivons, c’est sur Sky et en streaming sur MAINTENANT – mais aussi pour se poser quelques questions sur lel’âme qui le rend irrésistible. Il y a cinq ans, en parlant de ses 25 ans, nous avons essayé d’analyser le fonctionnement du film, mais le réalisateur Andrew Davis aujourd’hui il est plus concis que nous, et il explique aussi pourquoi après plusieurs décennies il a encore un message contemporain :
La cadence, le rythme du film… c’est intéressant, parce que c’est équilibré, contrairement aux choses rapides d’aujourd’hui, où vous pouvez à peine suivre ce qui se passe. Et aujourd’hui, les gens marmonnent au lieu de parler, aujourd’hui ils recherchent le réalisme… ceux qui agissent marmonnent pour que cela paraisse réel, mais alors on ne comprend pas les mots. Je pense que le film a une structure classique, dans la manière dont il transmet l’information au public et dans la manière dont il le fait suivre.. […]
L’histoire de The Fugitive parle d’un médecin qui dit : « Provasic provoque des saignements » et ils doivent le faire taire parce qu’ils veulent gagner de l’argent. C’est toujours d’actualité aujourd’hui. Il me semble qu’il y a eu beaucoup de discussions à ce sujet rôle des sociétés pharmaceutiques, de leur capacité à manipuler les choses. Je ne dis pas qu’ils sont tous mauvais, mon fils est médecinje sais qu’il est difficile de commercialiser quelque chose, mais je pense que pour cette raison, aujourd’hui le film a encore quelque chose à dire.