Motherless Brooklyn – Les secrets d’une ville : première sur Iris le noir sophistiqué par et avec Edward Norton

Brooklyn sans mère – Les secrets d’une villenoir sophistiqué basé sur le roman de Jonathan Lethem, marque le derrière la caméra d’Edward Nortonaprès les débuts, en 2000, avec Tentations d’amour. Le film – après ses débuts en salles en 2019 – sera diffusé en première ce soir – 11 janvier – au Iris, vers 21h00. Voici donc quelques détails sur l’intrigue complexe et le casting.

Motherless Brooklyn – Une affaire politique enchevêtrée au cœur du noir par et avec Edward Norton

New York, années 1950. Lionel Essrog essayer de faire la lumière surhomocide de son mentor et seul ami Franck Minna, un détective privé qui l’a sauvé de l’orphelinat et lui a proposé un emploi. Lionel a cependant un problème : il souffre d’une maladie non diagnostiquée syndrôme de Tourette, qui lui fait mémoriser des informations, des chiffres et des données d’une manière prodigieuse mais qui en même temps l’amène à avoir des spasmes et des tics incontrôlés, accompagnés d’expressions drôles, souvent calomnieuses et d’une voix dans sa tête qui le gronde et le tient à baie, d’il a appelé Bailey. Ces compétences seront le seul outil sur lequel s’appuyer pour essayer d’unir les pièces d’un ensemble très compliqué. complot socio-politiqueplus âgé que lui et Minna lui-même, décédé pour avoir « mis son nez » dans des affaires qui ne lui appartenaient pas.

Edouard Norton s’inspire donc généreusement du roman original, le transformant en noir sophistiqué des années 50 qui joue avec les caractéristiques stylistiques du genre et embrasse, en même temps, de nombreux autres genres – du pulp au thriller en passant par le roman policier. Et, tout comme dans le travail de Lethem, il transforme le CNY en vérité protagoniste de l’histoire. Une ville déchirée par les contradictions, où les affrontements de classe et la discrimination raciale, les clubs de jazz et la reprise économique après la Première Guerre mondiale. Brooklynd’autre part, devient un quartier sans mère (comme l’indique le titre original, qui reprend le surnom du protagoniste) mais avec un père unique et despotique, Moïse Randolphqui détruit et reconstruit la ville à sa guise, grâce à ses fonctions politiques fictives et à une population complice et pas tout à fait consciente.

Motherless Brooklyn – Un casting all-star et des personnages irrésistibles

Pour donner vie à cette affaire politique et sociale complexe, un casting de stars, mené par un Edouard Norton en état de grâce, qui se coud le rôle difficile du protagoniste. A ses côtés, dans le rôle d’un militant qui deviendra le centre du récit, on retrouve Gugu Mbatha-Raw – récemment apparu dans la série Marvel Lokien tant que juge Ravonna Renslayer. Complétez ensuite le casting Bruce Willis (Franck Minna) Alec Baldwin (Moïse Randolph) Willem Dafoe (Paul Randolph) Bobby Cannavale Et Leslie Man. Un projet ambitieux et en partie réussi, pour lequel Norton s’est engagé en tant que réalisateur, acteur, scénariste et producteur exécutif. Et un rendez-vous incontournable, pour en savourer un à chaque coup New York imbibé de jazz et de fumée, dans lequel évolue une riche galerie de personnages destinés à conquérir le cœur du spectateur.