La revue de l'hommage mélancolique à une noble profession

Un hommage mélancolique plein d'enseignement et de l'humanité scolaire représente le nouveau chapitre de la carrière de Thomas Lilti, capable de dire aux médecins à Hippocrate et au Doctor. La revue de Mauro Donzelli de conduite pratique pour les enseignants avec Vincent Lacoste et Adèle Exarchopoulos.

La culture française est liée aux lieux de l'événement quotidien de son histoire de la citoyenneté républicaine avec une attention et une sincérité particulières. Microcosmes agrégatifs dans lesquels la société exprime son rôle envers l'individu qui revendique comme un moment crucial, une véritable base de la pyramide dans laquelle il s'exprime. L'un des témoins et pendant des années les narrateurs de ces univers souvent actualisés sont Thomas Liltiqui depuis des années a réalisé la profession de médecinAussi En parallèle avec celui du scénariste et du réalisateurrevenant à porter la chemise alors, par vocation et « hommage à Hippocrate », pendant les mois les plus difficiles de la pandémie Covid-19.

Il a dit à son monde, celui d'un jeune médecin qui surplombe la première année au service des tranchées dans un hôpital, dans la splendide Hippocratepuis passant à un côté moins « glamour » de la profession Le médecin de campagne. Alors La première année Il a dit au grand obstacle sélectif représenté par la première année d'études médicales, toujours avec Vincent Lacoste comme son alter ego. C'est aussi dans Guide pratique pour les enseignantstitre original Un métier Sériuxdans lequel il approfondit l'univers de l'école, concentrant son attention sur une autre première année, celle d'un jeune homme aux prises avec la thèse de doctorat qu'il ne peut pas terminer et une Premier substitut en tant que professeur dans un institut de la province juste à l'extérieur de Paris.

Lilti revient à se concentrer sur un ganglion vital de son pays, de la santé à l'école, soumis à des pressions constantes, dans une société qui change et évolue, un rôle qui semble de moins en moins considéré comme crucial au fil des ans. De fragilité parle en général, guide pratique pour les enseignantspour une fois ainsi que l'institution de qui est derrière la chaisepas tellement les étudiants. Ils sont analysés et racontés, avec les préoccupations d'un rôle complexe, de pouvoir mais aussi d'un complice, dans un équilibre quotidien qui est explicite pendant une ou quelques heures par jour à l'intérieur d'une classe. Il y a des enseignants de toutes sortes, comme ceux qui sont depuis trente ans, qui commencent à subir le temps qui passe, ce qui ne passe que pour les enseignants, pas pour les étudiants qui restent jeunes et qui poursuivent le rêve d'un avenir. Différentes générations, pour Pierre, Meriem, Fouad ou Sandrine, enthousiasme ou ennui, familles solides ou plus souvent séparations et Enfants avec qui il est de plus en plus difficile de trouver un dialogue, qui devient le miroir à l'intérieur de la maison des risques ou l'incapacité d'éduquer, ainsi que de former leurs pairs, tous les jours en classe.

Un portrait passionné d'un univers fatigué, sous l'emprise d'un état constant de crise, qui fait appel aux petites satisfactions données par les étudiants qui réagissent ou apprécient ce qui se passe en classe. La mélancolie d'une communauté prévaut qui essaie de soutenir et de devenir une famille d'aide mutuelle, pas seulement une classe sociale. Une année scolaire au cours de laquelle le raid d'un nouveau gâté permet à tous les autres d'avoir cette distance minimale pour reconnaître cette flamme d'enthousiasme qui semblait être désactivée. C'est une profession sérieuse, comme ce carrousel touchant des personnages, chacun avec un chemin clair et non trivial, revendiqué avec désenchantement. Et comme la vie faite de nouveaux arrivants et de nostalgie, des amours et des regrets. Les interprètes magnifiquescomme d'habitude connu Lacoste à François Cluzetdepuis Adèle Exarchopoulos à William Lebghil.